LE RÔLE DU CADDIE – UN COPILOTE INDISPENSABLE ?

100 ° Open de France trou N ° 2

Le terme caddie nous vient de la reine Marie d’Écosse qui, étant originaire de France, a vu dans sa jeunesse les cadets militaires porter les clubs de golf de la famille royale. Elle importait donc ce terme qui sera ensuite anglicisé en « caddie« . Aujourd’hui le rôle du caddie est crucial pour un joueur professionnel. Comme un copilote de rallye, le caddie accompagne la performance de son joueur en le mettant dans les meilleures conditions. Il ratisse les bunkers, remet les divots et nettoie les clubs à la place du joueur mais son travail va bien plus loin.

Le caddie va conseiller le joueur en permanence dans tous les aspects du jeu. Un bon caddie sera capable aussi de soutenir moralement son joueur, que ça soit dans les bons moments pour rester lucide ou dans les mauvais pour l’aider à remonter la pente.

Co-pilotes millionaires

Aujourd’hui, les meilleurs caddies du monde s’arrachent à prix d’or et peuvent gagner des fortunes grâce aux résultats de leurs patrons. Par exemple, l’ancien caddie de Tiger Woods Steve Williams fût pendant plusieurs années le sportif le mieux payé de Nouvelle-Zélande ! Les relations caddy joueur peuvent être très courtes ou durer plusieurs années, comme Jim Furyk et son cadet Mike Cowan qui sont ensemble depuis 1999 !

Jamais cité au palmarès des professionnels du tournois, le caddie s’occupe pourtant d’une place primordiale aux côtés du golfeur.

Principales missions du caddie. 

Même en tant que joueur amateur, vous avez surement déjà pu jouer avec un caddie. Les règles et la déontologie du golf lui imposent plusieurs missions. Lors du déroulement d’une partie, voici ses principaux objectifs :

Porter le sac et les clubs du joueur. 

C’est évidemment son premier rôle. On a tous déjà regardé du golf avec un non initié, qui nous demandait « qui est le gars derrière qui porte le sac ? » En plus de cette tache, il doit donner au joueur le club adéquat et ranger le club venant d’être utilisé.

Mesurer les distances. 

On commence ici à s’approcher du rôle technique du caddie. Tous les golfeurs, pros ou amateurs, aiment connaitre la distance qui les sépare du green (et du trou). Aujourd’hui, de nombreux caddies utilisent une lunette pour mesurer les distantes. Mais lorsqu’il connait bien le parcours, ou qu’il y a fait une bonne reconnaissance, le caddie donne les distances en fonction des repères et obstacles présents sur le parcours.

Nettoyer le matériel. 

Aujourd’hui la plupart des parcours sont équipés de nettoyeurs de balles, et de clubs, mécaniques. Cependant, le caddie se doit tout de même de porter une serviette (évidement celle-ci est toujours présente sur le sac) et de nettoyer les clubs après chaque coups. Comme les balles au départ et sur le green.

Ratisser. 

Après un coup joué dans un bunker, le caddie doit ratisser l’ensemble de la zone de sable perturbée par le joueur. Bien évidemment, aucun golfeur n’a besoin de son caddie pour effectuer cette tâche puisque tous pensent déjà à passer le râteau, ou presque…

Replacer les divots. 

Lorsque le joueur réalise un divot sur le fairway ou dans le rough, le caddie doit retrouver le morceau de terre et le replacer. De même, il doit remettre en place les pitchs sur les greens lorsque le joueur ne le fait pas.

S’occuper du drapeau. 

Une fois la balle sur le green, le caddie doit s’occuper du drapeau. Sur les tournois professionnels les caddies s’accordent entre eux selon la distance de leur joueur par rapport au trou pour retirer ou replacer le drapeau une fois le trou terminé.

L’importance du caddie pour un pro. 

Le regard du pro sur le caddie.

Les avis des professionnels et experts du golf sur l’importances du caddie divergent. Cela peut aller de Bobby Jones qui disait ; « Si j’avais besoin de conseils de la part de mon caddie c’est lui qui frapperait la balle et moi qui porterai le sac. » À l’inverse, Luke Donald déclarait ; « Si je pensais que mon caddie ne faisait que porter mes bagages, je ne le paierai pas presque autant que je le suis. » Alors comment évaluer l’importance du caddie si certains pros pensent qu’il ne sert à rien ?

L’aspect technique. 

En plus des missions énoncées précédemment, un caddie professionnel doit faire appel à de nombreux aspects techniques pour jouer sur un tournoi. Mesurer les distances, repérer les zones à éviter, les zones sécurisées vers lesquelles jouer, la façon d’aborder un green (après en avoir étudié la roule et la pente), les pentes de celui-ci ; tout ceci en imaginant différents scénarios de météo et de vent. Un bon conseil de club, d’alignement, de force, de roule, et un joueur peut gagner un coup. Et on sait à quel point un coup est précieux sur un tournoi professionnel.

L’aspect psychologique. 

C’est sans doute l’aspect le plus important. Lors d’un tournoi, la pression est énorme. Et peu importe que les conseils du caddie soient bons ou non, un mauvais coup reste frustrant pour le joueur. Le caddie prend donc le rôle de support. Le célèbre écrivain et commentateur de golf Henry Longhurst disait ; « Un bon caddie est plus qu’un simple assistant. Il est un guide, un philosophe et un ami. » Son rôle sera donc de toujours rester positif envers son joueur. De le calmer après une suite de mauvais coups, et de lui redonner confiance en soi.

En conclusion, le caddie est-il utile ?

Il est certain qu’un bon caddie aura toujours un impact positif sur le joueur. Prenons l’exemple de Steve Williams, caddie de Tiger Woods jusqu’en juin 2011. Est ce que Tiger Woods aurait été le joueur qu’il a été (est) sans lui ? Aucun doute. Est-ce une coïncidence si Adam Scott a remporté le WGC Bridgestone Invitational de 2011 juste après avoir récupéré Steve Williams ? La question a le mérite de se poser…

Toujours est-t’il que vu les compétences demandées à un bon caddie, il ne fait aucun doute que le meilleur partenaire que puisse avoir un joueur serait quelqu’un qui le connait bien, depuis longtemps et qui a souvent côtoyé les greens à ses côtés pour connaître parfaitement le jeu du joueur et ses réactions en cas de perte ou d’excès de confiance.

Nous avons tous besoin Caddies 

L’inégalité, comme je suis d’apprentissage, est de plus en plus dans notre société, parfois par hasard, parfois systématiquement. Ce blog est sur les caddies sur le Tour européen. Je ne crois pas qu’ils sont nécessairement victimes d’un effort calculé de la part de quiconque, mais elle existe, et je voudrais attirer l’attention sur la question que je me sens leurs voix ne sont pas toujours entendues.

Il y a deux semaines au Masters Tchèque, nos joueurs salon était sous le même toit que le salon de caddies. Voilà à peu près où les similitudes finissent malheureusement. Bien que nous blotti dans un peu de poulet biologique avec des légumes et des pâtes, gratuitement, les caddies ont été concoctera leur propre argent pour les saucisses et le fromage! Cela m’a énervé à tant de niveaux. A quel moment faire le Tour, ou les promoteurs de l’événement pensent qu’il est juste pour les caddies à payer pour leur nourriture (et de l’eau) lorsque les joueurs, qui, soyons honnêtes, sont en revanche beaucoup plus riches, obtiennent leur gratuitement. Certes, cela ne se produit pas à chaque tournoi, bien que le même a ici à la KLM. On m’a dit que le Made in Denmark événement, les caddies ont été traités extrêmement bien et ont la même nourriture que les joueurs. Cela devrait être le cas dans tous les cas.

Ce ne sont pas le seul problème les caddies sont confrontés en tournée. Il est à noter que les caddies et les joueurs ne signent pas généralement des contrats écrits avec un autre. On m’a dit de quelques exemples où un joueur et un caddy ont accepté un contrat, mais qui est assez rare. Imaginez que vous allez travailler dans un environnement précaire et volatile, sans avoir la sécurité de base d’un contrat qui garantit au moins que vous travaillez pour le futur proche?

Pour ces malheureux qui sont sur les contrats zéro heure, ils sauront comment il se sent. Dans certains cas, un joueur engage un caddie et lui sacks la semaine prochaine. Je pense que ce devrait être le mandataire que chaque joueur signe un contrat avec son cadet, pour un minimum de 3 mois, permettant ainsi le cadet de prendre des dispositions de voyage sans la peur d’être piqué. Un terme de procès pourrait être mis en place, ce qui permet au joueur d’avoir au moins un tournoi pour voir si elle pourrait fonctionner.

Ce sont des droits fondamentaux. Le problème est que les caddies ne sont pas légalement une partie de l’European Tour. Et à cause de la nature opaque de la relation actuellement tenue entre le joueur et cadet, ils sont en quelque sorte, comme la matière noire;essentielle encore supprimée. Essentiel parce qu’ils sont tenus d’être présents en tout temps avec un joueur en compétition, ainsi que d’être forcé à porter des dossards qui agissent fondamentalement libre publicité pour les sponsors.

Je sais que certains des caddies ont exprimé le mécontentement de la façon dont ils sont traités et je l’ai dit à Jamie que je pense qu’il devrait faire partie du comité des caddies, comme il aime moi, pense le changement est nécessaire. Je pense personnellement le Tour européen doit supporter le poids des changements qui, nous l’espérons venir, soit par la nourriture pour subventionner les caddies, ou exigeant que le promoteur fournit une alimentation suffisante du lundi au dimanche. Ou alors, les joueurs paient pour cela. En ajoutant 20 € à nos droits d’entrée chaque semaine, que, je pense, serait aller un long chemin à aider à payer pour les caddies repas. Cela équivaudrait à environ € 3,000 supplémentaire chaque semaine.

Les caddies sont conscients que ces modifications soient apportées, assez d’entre eux auront besoin de se réunir et former une sorte d’union ou d’un accord par lequel ils achètent tous dedans. Je les soutenir et je sais que d’autres joueurs serait trop.

Décryptage d’un métier également captivant que méconnu, en compagnie de Cyril Miranda, caddie de Benjamin Hébert depuis plus d’un an.

Golf - Tour Européen - Depuis mai 2015, Benjamin Hébert a choisi Cyril Miranda pour l'accompagnateur sur le Tour Européen (Phil Inglis / Banque commerciale / DR)

Caddies, cadets ou plus simplement caddie ‘. Souvent méconnus, évoluant dans l’ombre des joueurs professionnels, les «hommes au sac» occupent pourtant une place primordiale dans les succès de leur protégé.
Conseiller technique, psy, supporter, nounou, ami …
Bien plus qu’un simple support de sac, le caddie s’occupe de toutes ces fonctions pour permettre à son golfeur d’abord la compétition dans les meilleures conditions possibles. Comme un joueur, il passe 25 à 30 semaines par loin de la maison. Comme lui, il s’entraîne.
Comme lui, il passe ses journées sur le parcours ou au cabinet, sous la pluie ou en plein cagnard.

Associé au succès quand le pro n’est pas ingrat. Parfois malmené par les organisateurs de tournois (voir la très jolie chronique d’ Eddie Pepperell, le philosophe gofleur , à ce sujet), le caddie en demeure pas moins un personnage à part du circuit, à la vie aussi passionnante que débordante.

Celle de Cyril Miranda, cadet de Benjamin Hébert depuis mai 2015, l’est particulièrement. Arrivé dimanche soir au Golf National pour la 100e édition de l’Open de France, il n’en repartira pas avant son joueur. L’occasion d’en apprendre plus sur son travail et ses semaines particulièrement intéressantes.

Reconnaissance et carnets de parcours

« Pour l’Open de France, j’arrive 24h avant Benjamin sur place. Cela me permet de recevoir une première fois le parcours tout seul. Je prends alors toutes les notes dont j’ai besoin, et surtout toutes celles que je sais qu’il me demandera. Pour les préparatifs, je sais par coeur le jeu de Ben, les distances qu’il parcourt avec chaque club. pantalon
Je parcours les 18 trous à pied avec un télémètre pour ajouter quelques mesures au carnet de parcours fourni par les organisateurs.
Je note surtout la façon dont va réagir la balle à certains endroits. A tel emplacement, il y a du gros rough, ici la balle va redescendre dans l’eau…

J’indique qu’à gauche du green le chip est facile, mais que le côté droit est à éviter. Pendant le tournoi, j’actualise chaque jour ce carnet selon les positions de drapeau. J’ajoute pour chaque trou un papier calque avec une zone verte, celle où l’on peut rater sans trop de problème, et une zone rouge où il ne faut pas s’égarer.

Après ma reco’ individuelle, nous jouons le parcours ensemble le mardi pour ajouter ses remarques à mes notes. J’indique également, comme je le ferai chaque jour durant le tournoi, l’emplacement du drapeau, la distance au green, la distance totale du trou, éventuellement la distance dans l’axe du coup si elle est différente, les conditions (vent et lie de la balle), le club et le coup choisi, l’endroit où la balle a pitché et celui où elle a terminé sa course. Avec ces informations, nous savons exactement quel coup faire s’il se retrouve dans la même situation le lendemain. »

Séances de practice et travail avec le coach

« Tout au long du tournoi, je dois être présent au practice à ses côtés. Durant ces séances, on discute beaucoup, on échange.
Je peux lui dire : « entraîne toi à faire ce coup car tu vas en avoir besoin aujourd’hui« .
Je peux lui rappeler les conseils de son coach, Olivier Léglise, quand il n’est pas très content de son jeu. Etant moi-même enseignant, je suis un relai privilégié du coach, sans pour autant prendre sa place.
J’échange d’ailleurs beaucoup avec Olivier, il me demande mon avis sur certains points techniques. Quand je donne mon opinion à Ben, j’envoie toujours un message à Olivier pour lui dire : « voilà ce qu’il m’a demandé, voilà ce que je lui ai répondu« . Je peux donc servir aussi de relai. »

Entretien physique

« Comme tous les caddies, je porte le sac de Benjamin sur le parcours. Celui-ci pèse une vingtaine de kilos, et cela peut aller jusqu’à 25 chez certains joueurs. Cela peut sembler anodin mais sur le parcours je marche environ 10 kilomètres. Lorsque l’on additionne, cela fait 4 tours, plus une reconnaissance avec Ben, plus le pro-am et mes reconnaissances seuls. En tout, je marche environ 80 kilomètres par semaine dont 60 avec 20 kilos sur les épaules. Cela demande une bonne condition physique pour tenir le coup et surtout rester lucide dans les moments clés où le joueur est fatigué. Si nous sommes tous les deux épuisés, cela risque d’avoir des conséquences. Pour éviter cela, je fais chaque semaine deux grosses séances de physique avec de la cardio, du gainage et du travail autour de la ceinture abdominale. Certains caddies n’y prètent pas attention mais la jeune génération est plus vigilante. Chez les plus anciens, on en voit d’ailleurs pas mal porter le sac sur l’épaule gauche car ils ont l’épaule droite en vrac. »

Médailles d’or ne sont pas pour tout le monde

Avec Adam Scott et Louis Oosthuizen à la fois le retrait des Jeux Olympiques, Golfs inclusion dans l’événement a une fois de nouveau sous la loupe. Le sentiment général envers le golf étant aux Jeux olympiques semble être l’une de positivité, certainement dans les cercles que je mélange autour de sur le circuit européen. Il serait stupide de dire que le golf ne bénéficiera pas d’une manière ou d’une autre de son inclusion.

Je crois comprendre que les gens du Golfs espoir top inclusion seront principalement stimuler l’intérêt dans le jeu et ensuite la participation à la ligne, bénéficiant ainsi l’industrie du golf par la suite. Cela pourrait bien se produire, et il y aurait ceux qui proclament «mission accomplie, travail fait. Mais à quel prix cela se produira?

Actuellement, les principaux marchés pour le golf selon un rapport du World Wide Golf par Datatech sont les États-Unis, le Canada, le Japon, la Corée du Sud et le Royaume-Uni.

Les États-Unis représentent environ la moitié de toutes les activités de golf dans le monde entier. Cependant, en dehors de la Corée du Sud et la Chine (non mentionné dans la liste), où la participation de golf est de plus en plus des baisses, les autres pays sont témoins de la quantité de gens qui jouent le jeu. Et avec aucun signe de cette tendance apaisement, il faut se demander qui sera inspiré par le golf mettant en vedette aux Jeux olympiques.

Les Japonais connaissent des difficultés économiques et ont été pour la meilleure partie de 30 ans. Il est à peine une coïncidence que depuis leur économie a commencé le rétrécissement, il en a été le taux de participation pour le golf. Il est difficile de voir comment ou pourquoi les gens tout d’un coup choisir de commencer à jouer plus de golf dans des pays comme les Etats-Unis, le Canada et le Royaume-Uni, à moins que le jeu change de manière significative à accueillir pour les personnes qui sont clairement rebutés par la nature de la façon golf est actuellement joué. Si vous faites partie du Parti communiste en Chine, le golf est apparemment joué avec autant d’appréhension que le vol d’une barre de Mars de la licence locale off. Pour moi, il est difficile de voir comment les Jeux olympiques auront beaucoup d’effet sur ces pays développés.

Donc, nous allons tourner à l’idée que de nouveaux pays, ou des «marchés émergents» pourraient devenir transe par le golf.

Tout d’abord, ces nouveaux pays seront probablement parmi les plus pauvres de la planète. Ils vont presque certainement être financé par des investissements à l’étranger, pour leurs gouvernements, vous espérez, verrait plus de raison de dépenser l’argent public sur l’éducation ou de l’infrastructure par opposition aux terrains de golf.

Deuxièmement, vous avez la vérité mal à l’aise que la construction de terrains de golf dans ces parties intactes du monde causerait des dommages durables aux communautés locales, les petites entreprises et les environnements écologiques. (sur un sujet similaire, George Monbiot a écrit un article intéressant à ce sujet dans The Guardian récemment)

Je ne veux pas peindre un tableau sombre, il est juste que je pense que ce serait spéculatif de dire que le golf va voir une augmentation significative de la participation dans le monde entier en raison de son inclusion dans les Jeux Olympiques. Je pense que tout incline ou refuse, nous assistons actuellement à une tendance se poursuivra probablement dans cette direction pendant un certain temps, quel que soit le statut olympique Golfs.

Mis à part peutêtre le Royaume – Uni, où le golf est originaire, Golfs popularité a augmenté aux côtés des économies en plein essor.

La hausse du golf en Amérique, pourrait être contribué à un certain nombre de facteurs; individus comme Arnold Palmer et Tiger Woods, une économie de plus en plus que l’Amérique a largement bénéficié depuis la Seconde Guerre mondiale, ou la croissance de la population. Toutes ces choses ont joué un rôle.

Mais regardez le golf en Chine au cours de la dernière décennie, il a connu une croissance exponentielle dans les classes supérieures, à côté de leur économie. Mais les choses ont tourné sur le plan économique. la participation de Golf en Amérique a diminué depuis la crise financière en 2008.

Les gens ont moins d’argent et donc ils dépensent moins sur les loisirs et les intérêts. La même chose est presque inévitable en Chine. Il est énorme incertitude sur l’économie chinoise. J’ai vu un exemple d’un seul de leurs problèmes quand je jouais à La BMW maîtrise l’année dernière juste en dehors de Shanghai. La quantité de demeures vides encerclant le terrain de golf au lac Malaren est étonnante. Et je crois qu’une partie de la raison pour laquelle l’événement est plus lieu est parce que le propriétaire de la station doit des millions de livres BMW et n’a pas libéré.Peut-être un signe de ce qui commence à démêler en Chine. Mon point est, le golf semble avoir un lien inextricable pour beaucoup d’argent, les grandes entreprises et de l’entreprise de l’entreprise, et quand les choses commencent à ralentir, aussi, fait le golf.

Enfin, je vais rester en place pour Adam Scott et Louis OosthuizenIls ont le droit de faire ce qu’ils veulent.

Les Jeux olympiques sont pas et n’a jamais été un grand prix dans le golf. Osez je le dis, il ne le sera jamais. Vous ne pouvez pas dire qu’ils ne sont pas intéressés par la culture du jeu soit. Regardez l’académie Louis par exemple. Il a, et est, remettre dans le jeu juste ce qu’il est sorti, en aidant les enfants à améliorer juste la façon dont Ernie Els a fait en Afrique du Sud au cours des deux dernières décennies. Adam est par tous les comptes extrêmement humble, vers le bas pour homme de la terre. Il a pris le golf australien à de nouveaux sommets avec Jason Day au cours des dernières années.

Ensuite, considérer que les meilleurs golfeurs ont un mode de vie de l’opulence.

Le genre que vous ne trouverez pas dans le Village des athlètes à Rio. Vous pourriez dire qu’ils devraient juste sucer et rester avec le reste des athlètes, ou, comme moi, vous pourriez dire qu’ils veulent gagner et ainsi de gagner, vous ne devriez pas changer une formule gagnante. Vous devriez chercher à trouver un logement qui est plus adapté à la nature vous vivre pendant des semaines normales de concurrence.

Quel est ce que l’on golfeur a fait, je crois, à un coût de dizaines de milliers de livres.

Je ne vais pas citer de noms, mais on m’a dit de ce par un caddie qui sera à Rio lui-même. Par conséquent logistiquement j’imagine Rio se révélera être cauchemardesque.

Il y a des raisons à jouer dans les Jeux Olympiques, que je peux voir.

Il pourrait être considéré comme faisant le jeu de golf un service en échange de ce que l’on vous a donné.

Mais je pense qu’un joueur a le droit d’avoir des réserves sur le golf aux Jeux Olympiques.Le genre que vous ne pouvez pas critiquer.

Débat oui, mais pas critiquer.

Pour moi, les Jeux olympiques représente tout ce qui est encore pur sur le sport et l’ effort.

Une veste verte est au golf ce que la médaille d’or est d’Athlétisme, Gymnastique, Haltérophilie, Natation, cyclisme, volley – ball, tir à l’ arc …. Golf a été constituée en société et monétisés à un stade où même moi, au 130e dans le monde, puis profiter d’ un style de vie merveilleux.

Pour inclure le golf dans les Jeux Olympiques est presque insultant pour la gymnaste qui gagne très peu, et les sacrifices autant que tout golfeur.